La Gazette vous souhaite une très bonne année à tous. Certains d’entre nous se sont émus de notre liberté de ton du mois dernier. Crime de lèse-hospitalité, nous avons osé titrer sur la corruption et sur les seins au risque d’attirer le courroux des autorités sur l’ensemble de la communauté française [sic!]. Rappelons que l’Indonésie est engagée depuis Megawati dans la « reformasi », il n’est que de lire la presse chaque jour pour voir s’étaler en une des gros titres sur la corruption. Nous n’avons voulu nous en faire que le pâle écho pour témoigner d’un fait de société majeur, pour donner à nos lecteurs, résidents ou de passage, l’image la plus juste de ce beau pays que nous aimons pour 1001 raisons. De même l’article sur les sirènes de TV7 ne nous donnait que l’occasion d’une mise en perspective historique.
Anciens journalistes français, héritiers de Voltaire ou de Beuve-Mery, nous tâchons de faire de la Gazette autre chose qu’un dépliant à l’usage des touristes, un espace de réflexion transparent et informatif
