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RAW FOOD, CLASSEMENT,BALI TOWEL,HAK PAKAI,HAPPY KIDZ

14PDF 129RAW FOOD MASTERCLASS ET DINER PAR LA CELEBRE CHEF SILVENA ROWE A L’ALILA UBUD
La célèbre chef Silvena Rowe se pose en coup de vent à l’Alila Ubud du 11 au 12 février. D’un tempérament fougueux et passionné, la jeune femme vous invite à découvrir son univers artistique avant-gardiste en vous soumettant ses talents culinaires. Une cuisine innovatrice avec des produits locaux où la qualité y est maître mot. Fille d’un journaliste turque et d’une mère bulgare, cette jeune femme cuisine pour les célébrités, la famille royale d’Angleterre et travaille avec les meilleurs chefs au monde. Habituée aux prime times sur la BBC, Silvena Rowe s’impose avec poigne dans un milieu impitoyablement masculin. Également auteure, elle écrit des articles pour le journal The Guardian et publie ses propres livres de recettes aux saveurs orientales et méditerranéennes dont elle tient ses origines.
Dîner sous les étoiles à l’Alila Ubud le 11 février pour 550 000rp par personne. Au menu, terrine à la tomate et à l’huile d’olive, suivit d’un pad thaï à la noix de coco, haricots et amandes accompagné de quelques autres mets. En dessert, glace au chocolat vegan et autres tartes à la mangue et aux noisettes. Le 12 février, venez assister au « Raw Food Masterclass », préparez et dégustez vos créations. À la carte ce jour-là, gâteau à la carotte et son sirop d’érable, cheese cake mangue-passion en compagnie d’autres petites surprises. Comptez 600 000 rp par personne pour assister au cours.
Alila Ubud, Desa Melinggih Kelod, Payangan, Gianyar. Tél. (0361) 975 963

BALI, L’IRRESISTIBLE ASCENSION DANS LES CLASSEMENTS
Bali ne cesse de gravir les échelons et monte une nouvelle fois en haut d’un classement des îles les plus prisées au monde selon le magazine américain Travel+Leisure. Ce mensuel dédié aux voyageurs a fait un classement des meilleures îles au monde, et devinez quoi ? Bali arrive en seconde position avec une note de 88,98 suivant de près les îles Galápagos (90,82). En troisième position on trouve les Maldives (88,53), puis la Tasmanie, en Australie (88,32), Santorin, en Grèce (87,93) ou encore l’île de Moorea, en Polynésie Française (87,90). C’est un fait et on ne peut l’ignorer, Bali séduit et attire chaque année jour un peu plus de voyageurs du monde entier. Le ministre du Tourisme Arief Yahya déclare être particulièrement fier de cette reconnaissance internationale qui honore une fois de plus le caractère si unique de l’île. Une destination qui attire, charme et envoute à tel point que l’Office du Tourisme prévoit l’arrivée de plus de 4,2 millions de touristes à Bali pour 2016.

Profitons-en pour vous faire partager les dernières statistiques (novembre 2015) des arrivées internationales sur l’île. Les Chinois sont en pleine ascension (+38%), les Japonais ont refait leur retard et retrouvé leur niveau d’il y a 5 ans, les Anglais ont grimpé de 28%, les Suisses de 27% et les Américains de 18%. Les Français se maintiennent honorablement et ont été 2000 de plus que l’an dernier à visiter l’île en novembre (123 136). En revanche, c’est la dégringolade sévère du côté des Russes (-31%), des Singapouriens (-18%) et des Malaisiens (-14%). On se souvient aussi que le patron de l’immigration de Bali avait annoncé interdire le territoire à tous ceux qui avaient plus de deux visas « on arrival » sur leur passeport, ça avait mis un sérieux coup d’arrêt au tourisme australien (-30%)… en quelques jours, les autorités avaient fait machine arrière mais il était trop tard, la mauvaise communication avait fait ses ravages et semé le doute dans les esprits.

52PDF 129BALI TOWEL, UN BON DIGITAL MIX, UN STORY TELLING ET QUELQUES PETITS CHARIOTS
La créatrice est Australienne et elle est née à Bali, également à la tête de la boutique Lilly Jean à Seminyak, Made de Coney s’inspire de ses voyages pour créer. L’idée est simple, la marque puise son inspiration du sarong traditionnel balinais et des imprimés batik en créant des draps de bain originaux aux couleurs locales, et ça marche. Chaque pièce est confectionnée à la main à Bali selon une méthode de tissage ancestrale, la gamme se décline sur une trentaine de coloris et de motifs différents. La serviette se présente avec un côté en éponge et de l’autre, différents motifs au choix allant des ananas aux petites étoiles en passant par les imprimés floraux aux simples rayures.
Bali Towel s’impose comme une marque à part entière en choisissant un mode de distribution malin et stratégique. Cette dernière s’est tournée vers CPM France (leader européen du field marketing) pour donner vie à ses chariots « Kakilima BaliTowel », des points de vente ambulants et éphémères au concept original et décalé. Cette année, Bali Towel est présent sur plusieurs salons en France et assure également la présence de ses petits chariots en Europe. Disponibles sur leur site Internet, les serviettes affichent un prix assez élevé de 69$. Alors autant en profiter ici, elles y sont à coût « mini » : 450 000 rp dans les points de vente de l’île.
BaliTowel, Seminyak Village, Jl. Kayu Aya n° 88. Beachwalk Bali, Jl. Pantai Kuta.

DES CHANGEMENTS DANS LES DISPOSITIONS DU HAK PAKAI
Sous des titres tapageurs du genre « Les étrangers sont désormais autorisés à posséder des propriétés en Indonésie », nous avons vu le mois dernier de nombreux articles dans la presse locale et internationale clamant une soi-disant libéralisation de la loi sur la propriété pour les étrangers dans le pays. Il n’en est rien, ou presque rien, même si dans l’ensemble, ce léger remaniement de la loi va quand même dans le bon sens, principalement dans le cas des couples mixtes et leurs enfants qui résident ici en famille. Passé le 22 décembre dernier, ce changement permet désormais d’étendre le lease ou contrat longue durée d’une maison ou terrain à 80 ans. Comme on le voit, il n’est pas question de pleine propriété. Pour y avoir droit, il faudra dès lors « vivre ou travailler en Indonésie, ou apporter au pays une contribution (investisseur) et être titulaire d’un permis de séjour en règle. » Cet hak pakai est d’abord établi pour 20 ans, puis pourra être doublé, puis rallongé encore de 30 ans, à condition de trouver un accord avec le propriétaire indonésien. Un accord qui, rappelons-le, n’est encadré par aucune loi, et laissé au bon vouloir du propriétaire qui peut très bien exiger ce qu’il veut pour la prolongation du contrat.
Toutefois, et contrairement à ce qui avait cours auparavant, une nouvelle disposition permet maintenant aux descendants de récupérer le bien pour la durée restante du lease et également de le prolonger si nécessaire. Dans le cas contraire, au bout d’un an, le bien est saisi par le gouvernement, dans le but de vendre ce qui peut être vendu avant que le reste ne revienne finalement au propriétaire d’origine du terrain. Cette nouvelle disposition va dans le sens d’une amélioration pour les couples mixtes, car leurs enfants pourront plus facilement maintenir la demeure familiale en cas de décès d’un ou des parents. Dans le cas de titulaires entièrement étrangers, cela est bien sûr beaucoup moins évident, surtout si les ayant-droit vivent ailleurs. Le délai d’un an étant comme une épée de Damoclès pour trouver une solution qui ne soit pas trop préjudiciable aux héritiers de cet usufruit.

25PDF 129HAPPY KIDZ, UNE MATERNELLE ET HALTE-GARDERIE A CANGGU
Fondée par des parents il y a trois ans, cette structure éducative a été créée avec l’objectif d’offrir un service de qualité à prix abordable à Canggu. Les mots d’ordre, en particulier pour la « Joyful Class » de 4 à 6 ans, sont respect, intégrité, amour, gentillesse et créativité. Les enfants sont issus de milieux variés, tant balinais qu’expatriés, le programme scolaire mêle donc culture locale et internationale en portant une attention particulière aux bonnes manières et à la morale.
Plus d’info sur FB : Happy Kidz Bali ou par téléphone au 081 933 061 056

Photo par Kenny Teo (zoompict)

Photo par @davidzhaophoto

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