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Investir à Bali, entre amis, tranquilles et sereins

Les années 2000, qui sont maintenant derrière nous, ont apporté des changements majeurs à Bali. Et si on prête attention au profil des étrangers venus s’y installer durant cette décennie, on se rend compte que ces nouveaux émigrés correspondent à une population bien différente de leurs prédécesseurs. Finis les hippies, les aventuriers du container et autres truands en cavale, bienvenue aux familles, aux rentiers et aux retraités. Christine et Philippe Lozach l’ont bien compris et ont de suite décelé les opportunités en terme de marché foncier. D’ailleurs, ils font partie eux-mêmes de cette vague de nouveaux venus, ils en partagent les valeurs, les préoccupations et la logique. Dans ce Bali normalisé, ils s’enorgueillissent d’apporter ce qui manquait jusqu’alors, les notions de confiance et de sécurité dans les transactions immobilières. « Bali entre amis » donc, comme ils le revendiquent en français dans le texte, chaleureusement, sans manière, bref, comme à la maison.

Tout deux professionnels de l’immobilier en France, ils appliquent ici leur savoir-faire et sécurisent ainsi leurs clients devant cette jungle légale indonésienne. « Nous sommes au petit soin avec nos acheteurs. On va les chercher à l’aéroport. Ils dorment à la maison. La plupart deviennent des amis », explique Christine, directrice de la société qui chapeaute l’ensemble des activités et grande amoureuse de l’île. Créée en 2009, la branche « Investir à Bali », plus particulièrement dirigée par Philippe, est sans doute le plus beau fleuron de cette entreprise aux atouts multiples. Elle propose des villas clé en main à des prix très attractifs pour les clients qui viennent de France. 110 000 euros la maison avec trois chambres, terrain de 7 ares et piscine par exemple, de quoi séduire les candidats à l’investissement en dur pour les vieux jours. « On propose du service. On est toujours avec nos clients. On les rassure, les gens apprécient », surenchérit Philippe qui fut également gendarme pendant dix-huit ans.

Le produit d’appel est une villa une chambre avec piscine à 38 000 euros, auxquels il faut ajouter le prix du terrain (25 000 euros), le permis de construire et le raccordement électrique, comme il est précisé sur leur site Internet. « Investir à Bali » rappelle à ses clients éventuels qu’il coûte « moins cher de construire à Bali que d’acheter de l’ancien. » Les villas sont garanties un ou deux ans selon les modèles et en cas de problèmes extérieurs au contrat « justifiés », Christine et Philippe Lozach se font fort de dédommager leurs clients. En trois ans d’activité, aucun accroc, affirment-ils et les affaires fleurissent. Après le démarrage en 2009, ils ont vendu 22 villas en 2010 – les premières livraisons sont en cours – et les prévisions pour cette année sont de l’ordre de 25 à 30… En périphérie de cette fructueuse activité de promoteurs immobiliers, les créateurs de « Bali entre amis » proposent également de la location, de la gérance et entretien, de l’export de maisons en bois et bambou, de meubles et d’artisanat décoration.

Rompus au marketing, Christine et Philippe ont des revendeurs en France bien sûr, mais aussi à Tahiti, à la Réunion, aux Caraïbes et à Singapour. Ils proposent également des locaux professionnels, bureaux et commerces et sauront aiguiller les clients qui souhaitent obtenir un permis de séjour auprès des autorités indonésiennes. Enfin, ils sont associés à des organismes de crédit en Europe. Sur place, leurs sociétés emploient cinq ressortissants français et huit Indonésiens et reçoivent plusieurs stagiaires par an. Par extension, « Investir à Bali » a aussi plusieurs entreprises de chantier et de nombreux fournisseurs dans son carnet d’adresses, la chaîne d’emplois est donc plutôt conséquente vu le volume d’affaires traitées. Un volume qui ne cesse de croître étant donné le succès extraordinaire de la formule et de ses nombreuses activités satellites. L’occasion pour ses heureux initiateurs, de véritables bourreaux de travail qui se prévalent de travailler « 14 heures par jour », d’envisager de faire entrer un investisseur dans leur capital. Et ce sera un investisseur français bien sûr…

Sur l’Internet à [www.investir-a-bali.com->www.investir-a-bali.com]

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